Lieu littéraire.
Sur cette page sont des extraits de mes efforts littéraires -
Un peu de poésie et un extrait d'un de mes romans -
Le pendu attend.
La voix.
Il y a une voix que j'entends,
Quand mon chagrin, trop dur à supporter,
Resserre mes faibles tentatives de respiration,
Perturbant et menaçant mon foyer intérieur.
Il y a une voix que j'entends
Quand ma perte, j'ai trop peur.
Il y a une voix qui se refroidit,
Tandis que mes larmes spontanées, jaillissent doucement
Autour d'une main en coupe sur ma joue chaude,
Serpentant, sans hâte dans une crique en cascade.
Il y a une petite voix qui refroidit
Même à une tristesse galopante, c'est idiot.
Il y a une voix qui apaise la bagarre,
Alors qu'il caresse ma douleur,
Rempli de la chaleur d'une journée ensoleillée, amour, tendre.
Je ne sais pas d'où ça vient mais rien ne se passionne
Qu'une voix que j'entends
Quand ma perte, j'ai trop peur.
© ® Oby Onyioha.
Où est mon père??
Mon cœur,
Soul ils l'appellent, demande, non, exige dans une agonie silencieuse,
Et les souches,
Oreilles en coupe, écoutant attentivement, au cas où,
Je ne veux pas manquer un son, un murmure, d'une réponse en écho,
Sa voix m'appelle,
Les yeux lançant sauvagement au cas où je manquerais une vision ou un spectre fugace,
Un mouvement imperceptible,
Attendant et désespéré d'espoir et de désir.
Daa-ddy, tu es là ? Peux-tu m'entendre?
Deux ans.
Un cauchemar pour l'éternité,
Un chagrin saisissant, semblable à un vicel, autour de mon cœur,
Cela ne lâchera pas
Accablé, essoufflé,
Alors que j'imagine un scintillement du coin de mes yeux,
Puis un coup de plumes sur ma joue droite,
Une douce brise tout autour de moi, chaude, grasse,
Aucune imagination cela.
J'ai senti mon père, Daa-ddy,
Il n'est pas loin; il est ici, comme il l'a toujours été.
Droits d'auteur. Oby Onyioha.
Ma famille.
Mon Père est mon rocher sur lequel je m'appuie, immobile, solide.
Ma mère est mon oreiller, ma couverture, douce, chaude et réconfortante,
Mes sœurs sont mes amies -
Aussi ludique que des chiots dans un panier à litière,
compagnons de potins et confidentes.
Mes frères sont mes guerriers et mon bouclier contre un monde hostile.
Et moi?
L'heureux destinataire!
IMPERFECT
In a perfect world, I would like the lame to walk,
The dumb to talk:
In a perfect world, I would like the blind to see
the flora, fauna and even a stinging bee,
In a perfect world, I would like the deaf to hear
The deafening wuthering of the wind in an ear:
Alas!
For now, feeling fear for sounds unseen,
Unspoken silence, for dumb where tongue had been,
The other deafened to its shrieking whirling pool,
And another rooted, too lame to walk, yet not a fool,
For still hearing with a knowing and grieving mirth,
It has never been perfect since its birth.
​
Copyright.
Oby Onyioha.
Monde imparfait.
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For the Children of Our Father, hearken unto this.
When you allow a room for good in your heart,
Great things happen my friends.
You find incredible strength in adversity,
You find an indomitable spirit that stares down evil and cruelty,
You find love and tolerance for fellow creatures,
You find sweet peace in your reborn tranquility,
Lo! you become as one with God, my friends.
Copyright
Oby Onyioha.
​
Autoriser une pièce.